Quartier de la Déesse KALI à CALCUTTA
QUARTIER DU TEMPLE DE LA DÉESSE KALI à CALCUTTA
Un quartier que l'on nous a conseillé de ne pas y aller pour diverses raisons aléatoires. Aussi, comme d'habitude cela m'a incité à y aller, avec l'accord de mon épouse.
Donc, le Temple de Kalighat (bengali : কালীঘাট মন্দির), sis à Kalighat, un faubourg sud de Calcutta, - et à proximité d'un des nombreux bras du fleuve Hooghly (appelé Adi Ganga, le 'vieux Gange') - est un temple hindou dédié à la déesse Kali (Ma Kali, la Mère Kali).
Particulièrement animé, dans les rues, des marchands d'objets de piété, mais aussi les "hommes chevaux" qui tirent encore de nos jours à bout de bras et en trottinant pied nu ou en tong, un chariot pour le transport de passagers.
Le "rikshaw walla" ou "homme cheval" transporte ses passagers dans les ruelles des quartiers de Calcutta.
Pourtant, la municipalité fait tout depuis des années pour faire disparaître ce mode de transport qui ternit l'image de la ville, image de misère qui colle trop à Calcutta, même si l’époque de la cité de la joie semble bien révolue, et que les derniers bidonvilles semblent avoir été détruits.
Ci-dessous, nous sommes derrière le Temple de la Déesse de Kali
Cliquez dans la photo pour l'agrandir et visionner à votre rythme
Et malgré cela, nous avons refusé leurs nombreuses "invitations" à être transporté, par pudeur, par gêne et par respect. Quelle leçon de vie !
J'ai pris toutes les précautions pour la prise des photos, car la population n'aime pas les "touristes" avec les appareils photos à bout de bras"... et c'est bien légitime.
Ceci explique la qualité médiocre de certains clichés.
Mais je vous rassure chers lecteurs, sur place et avec la population locale nous n'avons éprouvé aucune gêne, dans la mesure où n'avions aucune attitude de voyeurs.
De plus, notre comportement naturel d'être humain, rassurait tous les passants. Et surtout pas d'appareil photos intrusifs, et tout c'est bien passé. Ce qui poussait certaines personnes surtout les femmes, à entrer en contact avec mon épouse.
D'ailleurs les photos ci-dessous prouvent l'attitude rassurante de toutes ces personnes.
Ci-dessous, la promenade coté féminin pour mon épouse.
Le coté surprenant de ce quartier et malgré la durée de notre "promenade" nous n'avons rencontré aucun occidental. Par contre nous avons été récompensé par la richesse des rencontres et des échanges avec les quelques mots des "locaux", puis des gestes, dictionnaire et autres.
Bien sur, il faut être "ouvert" aux autres, et cela c'est par notre comportement ouvert et rassurant pour eux aussi.
Puis c'est aussi par la présence de mon épouse qui suscitait de la curiosité pour les dames . Quelle richesse !
A vous tous qui venez me rendre visite, je vous dis "Merci".
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