La mer et ses merveilles
Près de la moitié d’entre eux, 49 % pour être plus précis, auraient disparu en quarante ans, soit à peine plus d’une génération. Un constat pour le moins alarmant. "Souvent le mot "urgence" devient galvaudé, mais dans cette situation c'est vraiment une urgence", a commenté Richard LECK, directeur du programme pour le W.W.F Australie.
Les conclusions de l’enquête se basent sur toutes les espèces animales océaniques appartenant à la famille des poissons, mais aussi des mammifères, reptiles et oiseaux. Les tendances de leur évolution ont été mises en évidence en analysant une base d'observations de 5.829 populations appartenant à 1.234 espèces.
Les dérives de l'activité humaine en cause
Sans grande surprise, la cause de cette baisse préoccupante est l’activité humaine. Dans un communiqué, le W.W.F dénonce une combinaison de plusieurs facteurs :
La surpêche et des industries extractives à l'aménagement du littoral et à la pollution, en passant par les émissions de gaz à effet de serre responsables de l'acidification océanique et du réchauffement des mers.
Malgré cette longue présentation assez négative, quant à l'avenir du monde marin, je vous invite à découvrir cette belle vidéo.
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CES ESPÈCES QUI DISPARAISSENT
Les chiffres sont là, accablants. Selon l’I.P.V (Indice Planète Vivante), entre 1970 et 2018, la taille moyenne des populations de vertébrés sauvages a décliné de 69%.
Autrement dit, en moins d’un demi-siècle, les effectifs de plus de 32 000 populations de mammifères, d’oiseaux, d’amphibiens, de reptiles et de poissons ont chuté des deux tiers !
Le lien ci-dessous est particulièrement édifiant :
Merci pour votre visite
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