Création graphique
Création graphique après modification du 27 avril 2022.
Dans ses créneaux de loisirs, elle consacre de son temps à créer de très belles réalisations graphiques.
Même la plus minime des retouches ou création est considéré comme une création graphique.(Wikipédia)
Ma cousine utilise Photofiltre. Elle réalise un assemblage d'images tubes avec lesquels elle doit obtenir des créations cohérentes et surtout harmonieuses.
Au départ, c'est une feuille blanche ou transparente, et là, elle construit une création. Cela peut être aussi à partir d'une seule image (appelée "tube" ) et elle construit...
Chaque marque a une histoire à raconter, et un bon design graphique est souvent l'outil de communication le plus efficace.
Lorsque les mots sont limités, les designers s'appuient sur les éléments visuels pour faire passer le bon message.
Pour rendre cet article agréable à la lecture, j'ai créé des thèmes dans lesquels j'y ai associé des poèmes divers et variés
Je vous souhaite une bonne découverte !
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !
Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,
Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !
Les peupliers, au bord des fleuves endormis,
Se courbent mollement comme de grandes palmes ;
L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;
Il semble que tout rit, et que les arbres verts
Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.
Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;
Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,
A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,
Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.
Victor Hugo, Toute la lyre
FÊTE DES AMOUREUX
Recueil : Les diverses petites poésies (1667)
Qui d'un de vos regards en mon cœur est né,
Et je crus que j'avais satisfait mon envie ;
Mais, ma bien-aimée, je me trompais fort :
Mon amour est encore en vie,
Ce petit traître fit le mort !
Jacques de Cailly
CARNAVAL A VENISE
« Venise pour le bal s'habille.
De paillettes tout étoilé,
Scintille, fourmille et babille
Le carnaval bariolé.
Arlequin, nègre par son masque,
Serpent par ses mille couleurs,
Rosse d'une note fantasque
Cassandre son souffre-douleurs
CALENDRIER DES MOIS DE L'ANNÉE
Poème : Les mois de l'année
Janvier pour dire à l'année « bonjour »
Février pour dire à la neige « il faut fondre »
Mars pour dire à l'oiseau migrateur « reviens »
Avril pour dire à la fleur « ouvre-toi »
Mai pour dire « ouvriers, nos amis »
Juin pour dire à la mer « emporte-nous très loin »
Juillet pour dire au soleil « c'est ta saison »
Août pour dire : « l'homme est heureux d'être l'homme »
Septembre pour dire au blé « change-toi en or »
Octobre pour dire « camarades, la liberté »
Novembre pour dire aux arbres « déshabillez-vous »
Décembre pour dire à l'année « adieu, bonne chance »
Et douze mois de plus par an
Mon fils
Pour te dire que je t'aime.
Alain Bosquet
L'ÉTÉ
Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Il brûle tout, hommes et choses, Dans sa placide cruauté. Il met le désir effronté Sur les jeunes lèvres décloses ; Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Roi superbe, il plane irrité Dans des splendeurs d’apothéoses Sur les horizons grandioses ; Fauve dans la blanche clarté, Il brille, le sauvage Été.
Les cariatides
L'AUTOMNE
Voici que la saison décline,
L’ombre grandit, l’azur décroît,
Le vent fraîchit sur la colline,
L’oiseau frissonne, l’herbe a froid.
Août contre septembre lutte ;
L’océan n’a plus d’alcyon ;
Chaque jour perd une minute,
Chaque aurore pleure un rayon.
La mouche, comme prise au piège,
Est immobile à mon plafond ;
Et comme un blanc flocon de neige,
Petit à petit, l’été fond.
Victor Hugo, Dernière gerbe
L'HIVER
Que j’aime le premier frisson d’hiver ! le chaume,
Sous le pied du chasseur, refusant de ployer !
Quand vient la pie aux champs que le foin vert embaume,
Au fond du vieux château s’éveille le foyer ;
C’est le temps de la ville. – Oh ! lorsque l’an dernier,
J’y revins, que je vis ce bon Louvre et son dôme,
Paris et sa fumée, et tout ce beau royaume
(J’entends encore au vent les postillons crier),
Que j’aimais ce temps gris, ces passants, et la Seine
Sous ses mille falots assise en souveraine !
J’allais revoir l’hiver. – Et toi, ma vie, et toi !
Oh ! dans tes longs regards j’allais tremper mon âme
Je saluais tes murs. – Car, qui m’eût dit, madame,
Que votre coeur sitôt avait changé pour moi ?
Alfred de Musset
Merci ma chère cousine pour tes belles créations.
Nous t'encourageons à poursuivre.
Merci également à nos chers visiteurs, pour qui je publie ici, le commentaire de ma cousine:
à bientôt !
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