Istanbul-Rives du Bosphore
Retour dans le passé. Nous sommes en 1995 lors de mon voyage en Turquie.
Avec mon frère nous avons de nombreuses photos de "l'époque-diapos ou papier" (qualité pas terrible après numérisation... ) néanmoins, pourquoi ne pas les découvrir ensemble ?
Pour ce nouvel article je vais vous faire découvrir toutes les curiosités architecturales situées sur les rives du Bosphore à ISTANBUL.
Mais avant, on va débuter par le palais de Topkapı .
De 1465 à 1853, il est la résidence de ville, principale et officielle, du sultan ottoman. Le palais est construit sur l’emplacement de l’acropole de l’antique Byzance. Il domine la Corne d'Or, le Bosphore et la mer de Marmara.
Dans cette résidence de 700 000m2, 26 sultans se sont succédés durant quatre siècles. Erigé vers 1460 sur l'ancienne acropole de Byzance, TOPKAPI a été le coeur du pouvoir et longtemps interdit aux étrangers. Il a été un centre politique, artistique, scientifique et religieux. Le sérail d'Istanbul et son trésor continuent de fasciner.
Source et information complète : https://www.geo.fr/histoire/istanbul-topkapi-le-palais-des-mille-et-une-merveilles-194442
Le Palais de Topkapi est composé de quatre cours principales, autour desquelles se trouvent les cuisines et écuries impériales, et d’un harem.
La première cour, dite la « cour des Janissaires », avait en son sein le ministère des Finances et divers services du palais. On entre dans cette première cour par la Porte d’Auguste construise en 1478. Dans la plus grande des quatre cours, l’Eglise Sainte-Irène, construite au 4ème siècle par l’Empereur Constantin, constitue la plus grande structure à voir.
La seconde cour, dite la « cour des Cérémonies », est accessible par la Porte du Salut aussi appelé Porte du Milieu dont on ne connaît pas la date exacte de sa construction. La seconde cour fut surtout connue pour être impressionnante à la vue des visiteurs et pour rassembler les janissaires devant le sultan.
La troisième cour, appelée également le « palais intérieur », se situe derrière la Porte de la Félicité. Cette cour est le cœur du palais, là où séjournais le sultan. De nombreux édifices se trouvent dans cette cour, dont la bibliothèque d’Ahmet III qui se situe en son centre, la Mosquée des Agalar à sa gauche, et le pavillon des audiences à l’entrée de la cour. Dans l’aile droite de cette cour se trouvent actuellement une salle consacrée au trésor de Topkapi et une autre aux tapisseries et costumes de l’époque ottomane.
La quatrième cour, dite aussi sofa impérial, constituait le lieu où venait se reposer le sultan et sa famille ne toute intimité. Cette cour est un ensemble de jardins, kiosques, et pavillons qui était à l’époque assimilée à la troisième cour. On y retrouve notamment le kiosque de Bagdad construit en 1638 et où depuis sa terrasse la vue sur le Bosphore et la Corne d’Or est saisissant.
Le harem impérial, construit à la fin du 16ème siècle, comporte plus de 300 pièces qui étaient parties intégrantes des appartements privés du sultan. Il s’agissait entre autres des appartements des femmes, des concubines, et de la mère du sultan. On peut entrer dans le harem depuis la seconde cour par la Porte des carrosses. Le harem comprend, en plus des chambres, des salons, des fontaines et des cours.
Source et informations : http://www.istanbul-city.fr/guide-istanbul/palais/palais-topkapi/
INTERIEUR DU PALAIS
Historique du Palais de Topkapi
Le Palais de Topkapi, Topkapi Sarayi (« le palais de la porte des Canons ») en turc, a été construit sur le lieu de l’ancienne Acropole de Byzance entre 1459 et 1465 par le sultan Mehmet II. Le Palais de Topkapi devient dès lors sa résidence principale puis celle de tous les sultans le succédant jusqu’en 1853. Situé sur la pointe du Sérail, à l’extrémité ouest du quartier de Sultanahmet(Istanbul), avec une vue sur la Corne d’Or et le Bosphore, le Palais de Topkapi comporte quatre cours et un harem qui s’étendent sur 70 hectares.
A partir de 1924, suite à la chute de l’Empire ottoman trois années auparavant, le Palais de Topkapi devint un musée. En 1985, le musée du Palais de Topkapi fut inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Depuis le début de sa construction en 1459, le Palais de Topkapi a connu de nombreux agrandissements, le plus significatif étant la construction du harem au 16ème siècle. Le Palais de Topkapi a connu aussi certaines modifications suite au terrible tremblement de terre de 1509 et à l’incendie de 1665.
Cependant, le Palais de Topkapi commença à perdre de son prestige dès le 18ème siècle. Cette tendance se confirma en 1853, date à partir de laquelle la cour entière du sultan se déplaça du Palais de Topkapi au Palais de Dolmabahçe, nouveau palais d’Istanbul dont la construction venait de s’achever.
AMEUBLEMENT JOYAUX & OBJETS PRECIEUX
Topkapı, c'est aussi et surtout une véritable caverne d'Ali Baba. Au fur et à mesure de la visite, on découvre une profusion de joyaux et d'objets précieux de toutes sortes, des manuscrits enluminés, dix mille miniatures, entourent le clou de la visite : le Trésor. On y verra entre autres, le trône de Murat III, pesant près de 250 kg d'or pur ou le trône ovale, recouvert d'émaux verts et rouges enrichis d'une multitude d'émeraudes, de rubis, de perles. Plus loin : les vêtements de cérémonie des sultans, ruisselants d'or, de pierres précieuses et fines ou grosses comme le poing. Un autre exemple parmi tant d'autres, le diamant Pigot de 86 carats avec 58 facettes, qui occupe à lui seul une vitrine ou ce poignard oriental aux trois émeraudes, le « Kancar », A voir aussi : un trône d'ébène, une armure enrichie de pierres précieuses, deux chandeliers d'or pesant chacun 48 kg et rehaussés de 6 666 diamants, des meubles somptueux, des tapisseries, des faïences, des vases de jade, une couverture en perles, un carquois enrichi de rubis et de saphirs, des encensoirs en or...
VIDEO DU PALAIS
Le #sérail (palais) de Topkapi était la résidence des #sultans avant la construction du palais de Dolmabahçe. Bâtit sur l'acropole de l'antique Byzance, le site domine à la fois la ville, le Bosphore et la #Corne d'Or, à l'extrême pointe de la péninsule de Stamboul. Ce palais, constitué d'un ensemble de pavillons disséminés dans des jardins était une vraie ville, avec harem, #mosquées, bibliothèques, services extérieurs, etc., le tout entouré de hauts murs flanqués de tours de surveillance.
. Du XVIIe au XVIIIe siècle, des sultans incapables préfèrent les plaisirs du harem et les fêtes somptueuses aux lourdes tâches de l'Etat. Les grands vizirs et les sultanes-mères (validé), gouvernent en sous-main, mais l'armée veille, n'hésitant pas à recourir à la manière forte en cas de désaccord. .Roxelane fut certainement la plus rusée, d'entre les favorites qui peuplèrent le gynécée qui se trouvait en son temps, dans le vieux palais du côté de Beyazıt. Elle parvint à mettre à ses pieds Soliman-le-Magnifique, alors au plus haut de sa gloire. Durant toute sa vie elle ne cessera de tisser les pires intrigues et de tremper dans les plus sombres conspirations. Elle tenta d'assurer le trône à son fils Beyazıt, voulant ainsi s'opposer à son autre fils Selim II. Vaincu, livré au sultan par le roi de Perse auprès duquel il s'était retiré, Beyazıt fut étranglé.
Istanbul est la seule ville au monde qui voit son territoire se trouver à la fois sur deux continents. Les deux rives d’Istanbul, européenne et asiatique, sont séparées par le détroit du Bosphore, Bogazici en turc. Ce détroit, qui relie la mer Noire et la mer de Marmara, a une longueur de 32 kilomètres et une largeur allant de 700 mètres à 3 kilomètres. La rive européenne d’Istanbul comporte la vieille ville historique alors la rive asiatique est essentiellement résidentielle et moins touristique.
Afin de passer de la rive européenne à la rive asiatique ou vice versa, deux possibilités s’offrent aux stambouliotes et aux touristes, soit par l’un des deux ponts routiers suspendus (le pont du Bosphore et le pont Fatih Sultan Mehmet) ou soit par les nombreux bateaux franchissant fréquemment et à plusieurs endroits le détroit d’une rive à l’autre.
En supplément de ces deux alternatives, un tunnel ferroviaire sous le Bosphore, le Marmaray, est opérationnel depuis le 29 octobre 2013.
Source : http://www.istanbul-city.fr/istanbul-2-rives-europe-asie/
VUES GENERALES
Les rives européennes et asiatiques d’Istanbul ne sont pas les seules rives que comptent la ville. En effet, à l’intérieur de la partie européenne d’Istanbul se trouve la Corne d’Or, estuaire de 7,5 kilomètres de long et de 750 mètres de large allant du Bosphore depuis le quartier de Sultanahmet jusqu’à celui d’Eyüp plus au nord. Il s’agit aujourd’hui d’une attraction touristique incontournable d’Istanbul de part la beauté des paysages qui l’entourent.
LES PALAIS
Sur les bords des rives du Bosphore, on peut admirer de magnifiques maisons traditionnelles en bois construites au contact et au niveau de l’eau, appelées yali en turc, qui correspondent généralement à des résidences secondaires pour des familles aisées d’Istanbul. Ces maisons furent établies à partir de la fin du 18ème siècle, mais surtout durant le 19ème siècle.
VIDEO DES RIVES DU BOSPHORE
de Claude Aven
#Istanbul est la seule ville au monde à être traversée par une voie d'eau internationale, le #Bosphore. La largeur du Bosphore varie de 500 à 3000 mètres et sa profondeur de 50 à 120 mètres. Chaque année, environ 45.000 navires le franchissent . C'est grâce à ce bras de mer qui la sépare de l'Europe de l'#Asie, qu'Istanbul acquit son statut de métropole.Les villa au début du XIXe siècle étaient les majestueuses demeures de bois appelées #yalis, perchées sur le front de mer et servant de résidences estivales à l'écart du centre de la vieille ville. A partir de la fin du XVIIe siècle, pachas et Grands Vizirs bâtirent leurs villas au bord de l'eau sur les rives du Bosphore,
Ainsi se termine cet article. D'autres sont en préparation.
En attendant je vous remercie pour votre visite, à bientôt !